MOULIN GARNAUD
Le propriétaire souhaitait contribuer le plus possible à une bonne cause et produire de l’électricité respectueuse de l’environnement. La roue hydraulique existante semblait tout à fait appropriée à cet effet. Les aubes avaient été remplacées quelques années auparavant. L’arbre était moderne, donc une situation idéale.
La première vidéo montra rapidement qu’il y avait assez d’eau, mais que la roue tournait si lentement. La première question était de savoir ce qui pouvait en être la cause. D’abord un peu plus d’eau. La vitesse a augmenté jusqu’à une vitesse opérationnel, mais bien en dessous de la normale pour une situation d’inactivité.
Lors de la première visite, il s’est avéré que la roue tournait fermement dans l’eau ; au moins 60 cm. Beaucoup trop pour une roue à pales droites. Par la suite, il s’est avéré que la roue n’avait aucune coursier. Toute l’eau qui ne voulait pas passer par la roue pouvait facilement passer en dessous. La solution s’est donc rapidement imposée et consistait en 3 étapes :
Les travaux sont maintenant terminés et la roue tourne avec une capacité de 4 kW. Potentiellement, il y en aurait eu plus à cet endroit, mais compte tenu des circonstances, cela suffit. Il ne s’agit souvent pas d’un rendement maximal, mais d’un bon rendement à des coûts acceptables.